Bonjour tous le monde. Je m'appel Michel. Jusqu'ici j'ai toujours eu une vie paisible, tranquille, enfin bref le bonheur quoi. Cependant, comme vous pourrez le constater dans la suite, cette vie paisible laissa place à un véritable cauchemars.

23 juillet 2012 j'étais tranquillement en train de passer une journée tranquille comme d'habitude... la routine quoi. Il faisait anormalement chaud mais ceci n'était qu'un détail.... de plus vu le temps habituel du pays, on allait pas s'en plaindre.
Avec des amis on se baladait tranquillement sur notre avenue préférée. On parlait de tous et de rien c'était super. Et puis John a commencé à lancer un sujet sur le paranormale.

"Vous avez déjà entendu parler de l'homme de minuit ?" nous avait-t-il demandé. Naturellement personne ne savait de quoi il parlait. L'histoire qu'il nous avez raconté était vraiment, a mon avis, flippante. Je commençais a y croire quand il nous dit que ce n'étai qu'une des nombreuses creepypastas, vous savez ces légendes urbaines sensée faire peur, qu'il avait trouvé sur un site.

N’empêche, fausse histoire ou pas il m'avait bien fait flipper le John... Son histoire m'avait vraiment marquée.

Nous rentrions tous a 6 h 34 et 54 secondes très précisément. Mes parents avaient préparer un succulent dîner que je mangeai rapidement avant d'aller me coucher aux alentours de 22 h.

Seulement... je ne me sentais pas seul dans ma chambre. Il me semblait qu'il y avait comme une présence. J'était même sur d'avoir entendu un bruit. Seulement... j'étais absolument sur que j'était très perturber par l'histoire de John. Il était naturel que je prenne les bruits normaux d'une maison neuf (oui j'ai déménager récemment) pour des choses étranges.

Je me couchai donc sentant toujours cette présence mais pensant toujours que j'était perturber par l'histoire de John.

26 juillets : C'est la grande lose... Tous mes amis étaient partis en vacances. J'étais seul dans ma petite ville. Super c'était génial.

Entre temps chaque nuit je ressentais toujours cette présence. Pourtant j'avais totalement oublié l'histoire de John. Bah, je devais être énervé a cause du déménagement.

3 aoûts : Cette présence que je ressentais chaque nuit s'est aggravée. Je ne pensais pas que cela était dans ma tête. La nuit j'entendais des râles, des pas alors que je étais seul dans ma chambre. Cela pourtant ne pouvait pas être mes parents. Il m'avait laissé la maison pour 3 semaines.

9 aoûts : Les bruits que j'entendais chaque nuit se sont intensifier. Je commençais vraiment a avoir peur.
J'ai donc décidé d'en parler a John par téléphone juste avant de dormir. L'idiot ne voulait pas me croire.

Il ne me restait plus qu'a aller me coucher. J'étais vraiment très fatigué par ma journée.

10 aoûts : J'étais tétanisé dés le réveil ! Quelqu'un m'avait gravé sur le ventre :"Shhh"

Je ne sais pas qui ni quoi.... Ce que je sais c'est que le mot était gravé très profondément dans ma chair. Mon lit était trempé de sang et pourtant je n'avais rien senti.

Ce mot gravé en rouge vif ne présageait vraiment rien de bon. Je me dépêchait de panser la blessure qui continuait a saigner...


15 aoûts : C'était de pire en pire. La nuit je sentais qu'on me touchait. Que quelqu'un passe
ait ses mains sur ma blessure afin de me faire souffrir. J'entendais parfois des rires. Ils n'étaient pas humain mais plus bestiaux. Cela me terrifiait au plus haut point. Même  en voulant dormir dans une autre chambre cela continuait. Encore et toujours.

16 aoûts : N'en pouvant plus de tous ça j'ai raconté cela sur un forum expert en paranormale. Personne ne me croyait. Il pensait que j'avais tous inventé.

Sauf que ce qu'il ne savait pas c'est que la nuit j'ai réentendu un rire. Pas de joie mais de rage. Ce qui était assez original il faut le dire. Et puis ce qui était bizarre, c'est que je ne sentais que la présence.... Sans entendre les rires ni sans sentir de contact.


17 aoûts : Je n'avais jamais autant tremblé de ma vie. A mon réveil lorsque j'avais voulu me lever : une grande douleur s'était prononcée dans mes bras. Je ne pouvais plus les bouger. J'avais cependant réussi a ramper jusqu’à mon portable afin d'appeler (les pieds sont vraiment utile en fait) les secours.

A l’hôpital... le docteur m'avait annoncé une nouvelle que je n'était pas prêt d'oublier.Mes deux bras étaient cassés et on avait écrit sur mon os un 3 barré. Je m'étais évanouie de peur.

20 aoûts : Même a l'hôpital cette présence ne me laisse pas tranquille. La nuit j'entendais des rires de triomphes. Il m'arrivait de voir des yeux lumineux et un sombre sourire.

Je n'en pouvais plus. Cette chose continuait son petit manège chaque nuit. J'en était terrifié !

Le jour même ni tenant plus j'ai tous raconté aux infirmiers et a mes parents. C'était la troisième fois que je racontais mon histoire. Personne ne m'as crût.

Cependant moi je savais que 3 fois cela ne contenterai pas la chose.



Et maintenant... c'est la nuit... Je l'entend je la sens très énervée. Je termine ces lignes en vous demandant de me croire. Je ne sais pas ce qu'il va advenir de moi et je m'en fiche.

Je voudrais juste que quelqu'un puisse lire cette lettre et me croire. Ce sont surement mes derniers mots. Au revoir.


Lettre datées du 20 aoûts 2012 et retrouvée sur la table de Michel, retrouvé éventré le lendemain dans sa chambre d'hôpital, les yeux et la langues arrachés avec écrits sur son dos : "La troisième fois n'est jamais la bonne"